Figures en forme d’images : Arcimboldo, Weston, Welles

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2001

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Alexandre Castant, « Figures en forme d’images : Arcimboldo, Weston, Welles », Figures de l'Art. Revue d'études esthétiques (documents), ID : 10.3406/fdart.2001.1235


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Résumé Fr

Parmi les figures rhétoriques, et plus particulièrement les tropes, la métaphore consiste à articuler l’écart qui réside, dans la langue, entre le sens littéral et le sens figuré, sur l’analogie, la ressemblance, le “voir comme”. Part visuelle du discours, la métaphore fait une image avec des mots. Ainsi pour André Breton et les surréalistes, des visions inédites partent en “fusées” dès lors que s’opère l’analogie commandant métaphores et comparaisons. Avec précautions scientifiques Ernst Gombrich, dans Méditations sur un cheval de bois et autres essais sur la théorie de l’art, a étudié la métaphore dans les arts visuels et sa recherche est le point de départ de ce texte qui approche la part figurée, et notamment métaphorique, de certaines oeuvres. Surcodé, déjà analysé comme un espace métaphorique ou explicitement lié aux relations entre le texte et l’image, l’art d’ArcimboIdo, d’Edward Weston ou d’Orson Welles propose les enjeux de cette figure dans l’art. Traversant différents médiums, la métaphore apparaît alors moins comme l’utopie du langage que comme celle d’une image, travaillant l’univers des formes, dont la modernité reste l’enjeu.

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