Images du coronarius dans la littérature et l'art de Rome

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1995

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Germaine Guillaume-Coirier, « Images du coronarius dans la littérature et l'art de Rome », Mélanges de l'école française de Rome, ID : 10.3406/mefr.1995.1914


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Germaine Guillaume-Coirier, Images du coronarius dans la littérature et l'art de Rome, p. 1093-1151. Le coronarius, qui compose des coronae de fleurs ou de feuillage pour les banquets, les cérémonies religieuses et funèbres, exerce dans la vie quotidienne un petit métier. Dans les textes et l'iconographie, l'artisan peut appartenir à la réalité ou à la fiction. Qu'il travaille ou non pour son compte, ses réalisations - destinées aux hommes comme aux dieux - rendent plus joyeux, plus beau, plus aimé, plus glorieux, plus pieux. Les couronnes, d'ordinaire en rosés et dans des cas privilégiés en fleurs multiples, procurent donc une forme de bonheur; sans compter qu'être in rosa constitue pour le convive une puissance totale. Ainsi s'explique la représentation du «fleuriste» dans la peinture et la sculpture funéraires: il tresse pour le défunt, surtout quand celui-ci est montré allongé en repos ou à table, les roses d'une éternelle félicité.

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