Le fleuve Sénégal. II. Flux continentaux de matières dissoutes à l'embouchure. Senegal river. Part II. Discharge of dissolved matter through the mouth

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1986

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Jean-Yves Gac et al., « Le fleuve Sénégal. II. Flux continentaux de matières dissoutes à l'embouchure. Senegal river. Part II. Discharge of dissolved matter through the mouth », Sciences Géologiques, bulletins et mémoires, ID : 10.3406/sgeol.1986.1723


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Résumé En Fr

In the estuary of the river Senegal, the major geochemical events are related to the annual incursion of marine waters up stream in the valley of the river. The first part of this study is devoted to the description of the seasonal variations of the salinity and to the evolution of the chemical composition of solutions in the estuarian environment. The mean annual discharge of dissolved matter of continental origin for the 1981-1983 period is equal to 420,000 ton/year, this corresponds to 42 mg/1 of TDS and to a chemical erosion rate of 1.85 t/km2/year. By combining the balances of mechanical erosion and chemical alteration, new proposals are presented for understanding how sahelian rivers get their load of suspended particles and dissolved elements, and for precising the respective contributions of running waters and discharge waters to the yearly hydrograms.

Les événements géochimiques majeurs à l'embouchure du Sénégal sont liés aux phénomènes de la remontée cyclique des eaux marines dans la vallée du fleuve. La première partie de cette étude précise les variations saisonnières de la salinité et l'évolution de la composition chimique des eaux dans le milieu estuarien. Les flux dissous d'origine continentale mesurés de 198 1 à 1983 s'élèvent en moyenne à 420 000 tonnes/an ; ils correspondent à une charge en solution de 42 mg/1 et à un taux d'érosion chimique de l'ordre de 1 ,85 t/km2/an. A partir du bilan de l'érosion mécanique et de l'altération chimique, de nouvelles propositions sont formulées pour appréhender l'acquisition des charges particulaires et dissoutes par les fleuves sahéliens et préciser dans les hydrogrammes annuels les contributions respectives des eaux de ruissellement et des eaux souterraines.

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