Effets de l’écrit sur la construction du Sujet textuel à l’université

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2002

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Christiane Donahue, « Effets de l’écrit sur la construction du Sujet textuel à l’université », Spirale - Revue de recherches en éducation, ID : 10.3406/spira.2002.1439


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On peut décrire l’université en tant que «zone de contact » , un espace discursif de lutte et de négociation dialogique. L’étudiant «écrit son entrée » à cet espace, il construit des textes en reprenant et modifiant les concepts, les genres et les lieux communs qui lui sont disponibles. On peut identifier quelques-uns de ces reprises-modifications en tant que mouvements textuels qui permettent aux étudiants-écrivains d’adopter certaines positions discursives : la transculturation, l’appropriation et la paraphrase, par exemple. Plus particulièrement on peut décrire ces mouvements en tant que «literate arts » . Une analyse interprétative de trois essais rédigés en première année universitaire nous permet de mieux comprendre la nature et le fonctionnement de ce processus de rédaction et de négociation au cours duquel l’étudiant-écrivain choisit ou est interpellé par des positions discursives. L’analyse prend en compte quelques indicateurs de la construction de ce Sujet textuel : les pronoms je, nous et on, la voix passive, les modalités de certitude et les mouvements métadiscursifs.

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