19 juin 2020
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Jean-Louis Leleu, « 5. Canon final et coda instrumentale », Éditions Contrechamps, ID : 10.4000/books.contrechamps.3517
Adorno notait en 1928, à propos du dernier des Chœurs op. 27, qu’il se déroulait de façon fluide, sans aucune césure, et se singularisait ainsi dans la production de Schönberg par le fait qu’il renonce à ce qui est d’ordinaire un agent déterminant de la forme : la présence de « caractères contrastants ». Schönberg use pourtant d’un procédé de cette nature pour donner à la coda de la pièce sa physionomie propre. Le contraste, il est vrai peu prononcé, se situe sur le plan du type d’écriture em...