Modernité et sécularisation

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16 juin 2016

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Rémi Brague et al., « Modernité et sécularisation », CNRS Éditions, ID : 10.4000/books.editionscnrs.6562


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SÉCULARISATION : « Action de transférer un bien d’Église dans le domaine public. – Action de soustraire une fonction, une institution sociale à la domination, à l’influence religieuse, ecclésiastique, de (la) mettre entre les mains des laïcs, des pouvoirs publics. – Action de donner à quelque chose un caractère laïc, non religieux, non sacré. » MODERNE : « Qui est, a été réalisé depuis peu de temps et souvent d’une manière différente de ce qui avait été fait précédemment et qui est représentatif du goût dominant de l’époque. – Qui ne s’inspire pas des réalisations antérieures par les principes, les règles établies et apporte quelque chose d’inédit, d’original. – Qui se veut à l’avant-garde du progrès, de la mode. » L’époque moderne peut-elle congédier son passé et ne se revendiquer que d’elle-même ? Ou la théorie du progrès historique ne serait-elle qu’un succédané profane des théodicées religieuses classiques ? Et les concepts prégnants de la politique contemporaine ne seront-ils que des concepts théologiques laïcisés ? Hans Blumenberg, Karl Löwith, Carl Schmitt et Leo Strauss, la métaphysique, le droit, la politologie sont au cœur de cet ouvrage dirigé par Michaël Fœssel, Jean-François Kervégan, Myriam Revault d’Allonnes.

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