Conclusion. De l’arbitraire en toute chose

Résumé 0

L’histoire des beautés arbitraires se tisse à partir de l’altérité par rapport à la règle, puis les soucis qu’elle recouvre se mêlent et se confrontent à la mesure et à la démesure, à la vraisemblance et à l’invraisemblance. Lorsque, des deux dessins pour la façade orientale du Louvre que lui présente Colbert, Louis XIV retient celui « orné d’un ordre de colonnes formant péristyle ou galerie au-dessus du premier étage », il fait davantage qu’exprimer un goût. Cette partie doit être signifiant...

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