5 mai 2021
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Isabelle Tillerot, « Conclusion. De l’arbitraire en toute chose », Éditions de la Maison des sciences de l’homme, ID : 10.4000/books.editionsmsh.24851
L’histoire des beautés arbitraires se tisse à partir de l’altérité par rapport à la règle, puis les soucis qu’elle recouvre se mêlent et se confrontent à la mesure et à la démesure, à la vraisemblance et à l’invraisemblance. Lorsque, des deux dessins pour la façade orientale du Louvre que lui présente Colbert, Louis XIV retient celui « orné d’un ordre de colonnes formant péristyle ou galerie au-dessus du premier étage », il fait davantage qu’exprimer un goût. Cette partie doit être signifiant...