4 octobre 2021
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Léa Veinstein, « Theodor W. Adorno : « Chaque phrase de Kafka dit : interprète-moi, et aucune d’entre elles ne tolère l’interprétation » », Éditions de la Maison des sciences de l’homme, ID : 10.4000/books.editionsmsh.27765
Présence de Benjamin La lecture adornienne de Kafka s’étend sur quarante-cinq ans de sa vie. Elle a débuté par des notes, aujourd’hui perdues, contemporaines de sa lecture du Procès en 1925 ; s’est poursuivie en décembre 1934 par un important échange de lettres avec Benjamin, présenté dans l’introduction de cette première section ; a connu son temps fort en 1953, date de la publication dans la Neue Rundschau de ses « Réflexions sur Kafka » (rédigées entre 1942 et 1953), et s’est achevée par p...