Conclusion générale

Résumé 0

Dans un de ses discours, Dion Chrysostome rappelle que les athlètes ne sont prêts à se soumettre à tant de peines que pour avoir, sous leur statue, l’inscription qui rappelle leur victoire olympique ou pythique. Les palmarès ne sont qu’une des légendes possibles aux statues de ces champions vainqueurs à Delphes, à Pise, à Rome ou à Éphèse. Plus nombreux que jamais à l’époque impériale, ils répondent de diverses façons au besoin d’ériger des mémoriaux à la gloire des champions. Mort ou vif ? L...

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