Non-Palestinian Refugees in Lebanon From Asylum Seekers to Illegal Migrant

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10 mars 2014

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Kamel Doraï Mohamed et al., « Non-Palestinian Refugees in Lebanon From Asylum Seekers to Illegal Migrant », Presses de l’Ifpo, ID : 10.4000/books.ifpo.4781


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Résumé En Fr

While nearly 400,000 Palestinian refugees live in Lebanon, this country hosts non-Palestinian refugees, whose number rises from a few thousands recognised by the UNHCR up to 30,000 or 40,000 according to non-official sources that include many ‘irregular’ migrants, mainly coming from Iraq and Sudan. To some extend, Lebanon is considered as a destination country where refugees can find a temporal asylum before returning to their country of origin. But for many others, Lebanon is considered as a transit country towards Western Europe, North America or Australia. What are the different itineraries that exist? Do they rely on transnational networks? What are the bases of these networks? The transit period can last several months and refugees have to adopt coping strategies while their statuses are extremely precarious. What kinds of strategies are developed in different spheres such as accommodation, work, health, education, etc.? Based on empirical data, this paper aims to address the theoretical issue of studying refugee movements in relation with the development of transnational practices in the Middle East.

Environ 400 000 réfugiés palestiniens vivent actuellement au Liban, un pays qui abrite par ailleurs des réfugiés non palestiniens, dont les effectifs varient de quelques milliers reconnus par le Haut-Commissariat des Nations unies aux réfugiés (UNHCR) à 30 000-40 000 selon des sources non-officielles, incluant de nombreux migrants « illégaux », principalement originaires du Soudan et d’Irak. Le Liban peut être considéré comme un pays d’asile temporaire avant un retour des réfugiés vers leur pays d’origine. Il peut aussi, dans d’autres cas, constituer un pays de transit vers l’Europe de l’Ouest, l’Amérique du Nord ou l’Australie. Quels sont les divers itinéraires existants ? Reposent-ils sur des réseaux transnationaux ? Quelles sont les bases de ces réseaux ? La période de transit pouvant durer plusieurs mois, les réfugiés doivent concevoir des stratégies d’adaptation, leurs statuts restant très précaires. Quelles stratégies sont adoptées dans divers domaines, logement, emploi, santé, éducation, etc. ? Cet article, reposant sur des données d’enquête, aborde la question théorique de l’étude des mouvements de réfugiés en lien avec le développement de pratiques transnationales au Moyen-Orient.

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