Mandatory Expertise after the League of Nations Mandates: Interconnections and New Directions

Fiche du document

Date

28 septembre 2020

Discipline
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

OpenEdition Books

Organisation

OpenEdition

Licences

https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess



Sujets proches Fr

Estimation (art)

Citer ce document

Simon Jackson, « Mandatory Expertise after the League of Nations Mandates: Interconnections and New Directions », Presses de l’Inalco, ID : 10.4000/books.pressesinalco.38797


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

Pivoting empirically around an economic mission to Syria in 1954 by the International Bank for Reconstruction and Development (IBRD), the forerunner of the World Bank, this essay provides a conclusion to the volume by seeking to identify various ways in which expertise associated with the League of Nations Mandates endured or was recycled in the era after the dissolution of the League, namely the period of the establishment of the United Nations, of the Cold War, and of decolonization. It also suggests ways in which scholarship on expertise might develop the lines of inquiry established in the essays of this volume. To meet these goals, it focuses first on the question of continuity and rupture across 1945, second on the issues of space and scale and the possibility of producing histories of expertise that are both multi‑local and trans‑national, third on the under‑explored topic of expertise associated with capitalist businesses and military institutions, and finally on the opportunities for histories that set late colonial international expertise into the context of the Anthropocene and specifically the “Great Acceleration” of the 1950s.

Prenant comme pivot une mission économique en Syrie de la Banque internationale de Reconstruction et de Développement (BIRD), prédécesseur de la Banque mondiale, en 1954, cet essai de conclusion cherche à la fois à identifier les conséquences et l’influence — à l’époque de la décolonisation, de la guerre froide et de l’Organisation des Nations unies — de l’expertise mandataire analysée dans cet ouvrage, et à proposer des pistes pour le développement de la recherche à venir. Pour atteindre ces deux buts, l’essai se concentre premièrement sur la question de la rupture et de la continuité dans le domaine de l’expertise internationale autour de la Deuxième Guerre mondiale. La deuxième section aborde la question de la constitution de l’espace par l’expertise coloniale ainsi que la question de la recherche d’une approche méthodologique capable de traiter à la fois des dynamiques locales et transnationales. La troisième partie concerne les armées et l’environnement capitaliste comme lieux de production d’expertise et comme objets de recherche sous‑estimés. Enfin l’essai s’achève par une méditation sur les années 1950 comme intersection fructueuse de l’histoire environnementale et naturelle et de l’histoire de l’expertise coloniale et mandataire.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en