Chapitre 11. J’écris ce souvenir pour qu’il reste toute une vie

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26 septembre 2022

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Alexandra Galitzine-Loumpet, « Chapitre 11. J’écris ce souvenir pour qu’il reste toute une vie », Presses de l’Inalco, ID : 10.4000/books.pressesinalco.45097


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Résumé Fr Ar

Les graffiti et inscriptions des demandeurs d’asile et plus largement, des exilés quelle que soit leur situation administrative, constitue un domaine nouveau d’étude dans le champ des études sur les migrations. Pour peu qu’on y fasse attention, pourtant, ces graffiti multilingues sont partout, attestations de présence, marques de passage, prières et écrits nostalgiques ou politiques, signatures. L’analyse de cette « langue des murs » écrite et des dessins associés, des subjectivités qu’elle met au jour est analysée dans ce chapitre à travers un corpus particulier : celui du centre de premier accueil de la porte de la Chapelle. Elle ouvre une réflexion plus globale sur « l’écriture frontière ».

نقاشی های روی دیوار و نوشته های متقاضیان پناهندگی و بطور گسترده تر، تبعید شده گان بدون در نظر گرفتن وضیعت اداری آنها، مطالعه جدید در زمینه مطالعات در بحث مهاجرت را تشکیل داده است. با این حال تا زمانی که به آن توجه کنیم این نقاشی های دیواری چند زبانه در همه جا وجود دارند. از جمله نشانه ای حضور، علایم عبور، دعا ها، نوشته های دلتنگی یا سیاسی، امضاها. تجزیه و تحلیل این (زبان دیوار ها) نوشته ها و رسامی های مرتبط به آن ذهنیت ها را افشا کرده و در این بخش از طریق یک قشر خاص که آن مرکز پذیرای ابتدای در پورت لاش al (Centre de premier accueil de la porte de la Chapelle) میباشد تحلیل شده است. این تحلیل یک بازتاب جهانی تر در مورد (نوشتن مرز) را باز میکند.

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