Perdons-nous dans les bois, voir si la louve n’y est pas : féminité et érotisme dans la forêt fin-de-siècle

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S’il est des désirs obscurs et des amours ténébreuses dans la littérature décadentiste, il est aussi des pages solaires, où l’amour aveugle de ses mille feux, où l’astre diurne resplendit de toute sa force. Le temps dégradant suspend parfois son vol et, au détour d’une page, procède d’une revivifiante régression dans les temps primordiaux, quand les soleils n’étaient pas encore crépusculaires, que les corps n’étaient pas déjà à leur automne, les cœurs à leur hiver. Loin des forêts de Tiffauge...

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