16 mai 2022
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Mathilde Bertrand, « Joséphin Péladan et l’hermaphrodisme aurevillien », Presses universitaires de Franche-Comté, ID : 10.4000/books.pufc.42420
En 1884, Jules Barbey d’Aurevilly signe la préface dithyrambique du premier roman d’un obscur débutant, le jeune Joséphin Péladan. Le Vice suprême est en effet le premier volume d’une fresque romanesque qui en comptera vingt-et-un, La Décadence latine, dont Péladan entreprend, de 1884 jusqu’à sa mort en 1918, de faire le tableau social et moral. En saluant si chaleureusement Le Vice suprême, le vieil auteur des Diaboliques félicite Péladan d’avoir combattu, en même temps que la décadence spir...