5 novembre 2019
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Karyn Wilson Costa, « Chapitre 2. Les « meilleurs » poèmes de Robert Burns sont en écossais », Presses universitaires de Lyon, ID : 10.4000/books.pul.3488
L’autre opinion largement répandue par la critique pendant près de deux siècles, et qui se trouve liée à celle du dernier survivant d’une tradition disparue, concerne le prétendu manque de maîtrise de la langue anglaise de Burns : alors que le « bon » Burns écrivait bien en écossais, on jugeait ses compositions en anglais, celles du « mauvais » Burns, de qualité inférieure. Au moment de réévaluer l’importance et l’influence de son œuvre, ce serait faire une grave erreur que de parler du poète...