Oralité, équivocité, théâtralité : La Farce des muletiers de Gil Vicente

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22 avril 2015

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Olinda Kleiman, « Oralité, équivocité, théâtralité : La Farce des muletiers de Gil Vicente », Presses universitaires de la Méditerranée, ID : 10.4000/books.pulm.948


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1. « Le livre a son histoire, et en porte les traces » « Le livre a son histoire, et en porte les traces ». La formule, de Jean Bollack, dans son ouvrage consacré à « Celan et la littérature », paraît relever du truisme, une fois arrachée à son contexte. Je n’ignore évidemment pas que l’usage que j’en fais ici, la dévoyant du sens dont elle a été investie, lui confère une portée générale qui pourrait bien l’apparenter à « la crème du pâtissier, servant pour tous les temps et pour tous les âge...

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