7 novembre 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Catherine Rossi, « Chapitre 20. La dépression d’après-thèse », Presses de l’Université de Montréal, ID : 10.4000/books.pum.4135
Perte d’appétit, de sommeil, augmentation significative des épisodes d’angoisse diurnes et nocturnes (sans objet apparent), sentiment d’« incommunicabilité », crises de larmes soudaines ou irritabilité, grande labilité : ce sont bien les dernières choses qu’on s’attend à éprouver lorsqu’on dépose sa thèse. Pourtant, de tels symptômes se constatent fréquemment chez les jeunes docteurs, dans les quelques semaines ou mois suivant la soutenance de leur thèse. En langage familier ou en jargon estu...