“Sages femmes” ou sorcières ? Les vieilles femmes des Évangiles aux Quenouilles

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17 janvier 2014

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Anne Paupert-Bouchiez, « “Sages femmes” ou sorcières ? Les vieilles femmes des Évangiles aux Quenouilles », Presses universitaires de Provence, ID : 10.4000/books.pup.3258


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Si Vieillesse rime souvent avec Sagesse dans la littérature médiévale, elle évoque aussi la décrépitude et la laideur. “Laide vieillesse amour n’empêtre”, constate mélancoliquement la Belle Heaumière dans le Testament de Villon, regrettant “le bon temps” et la beauté de sa jeunesse. Les vieilles femmes, surtout, ne sont guère flattées dans les textes, au Moyen Age comme dans l’Antiquité. Que reste-t-il à la Femme lorsqu’elle a perdu sa beauté, célébrée par les amants et chantée par les poètes...

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