Simuler ou faire la guerre virtuelle ne signifie pas pour autant faire la paix

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29 septembre 2017

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Annick Batard, « Simuler ou faire la guerre virtuelle ne signifie pas pour autant faire la paix », Presses universitaires de Perpignan, ID : 10.4000/books.pupvd.3463


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« Tous les garçons jouent à la guerre et aux soldats » (La guerre, PUF, 1953 : 7), écrit Gaston Bouthoul, en indiquant qu’il convient de lutter contre les clichés et de faire une polémologie de la guerre. La définition qu’il propose est la suivante : « la guerre est une lutte armée et sanglante entre groupements organisés. » (ibid. : 33) Pourtant, ce qui nous intéresse ici réside plutôt dans la guerre envisagée sous son aspect ludique : jouer à la guerre. Cet article s’intéresse aux évocations de la guerre dans les jeux vidéo critiqués dans la presse contemporaine généraliste française. Nous observons que les jeux de guerre y sont populaires, tant auprès des jeunes que des adultes. Quelles sont les images qui circulent à propos de ces jeux vidéo guerriers ? Y a-t-il des figures plus particulières qui ressortent de ces images ? Comment interviennent les questions de paix, corollaire de la guerre, dans les jeux vidéo ?

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