« Une si forte odeur de pourriture » : la décomposition à travers le regard anatomique des domestiques, d’Octave Mirbeau à Marguerite Duras et Isabel Marie

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24 septembre 2019

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Lucia Campanella, « « Une si forte odeur de pourriture » : la décomposition à travers le regard anatomique des domestiques, d’Octave Mirbeau à Marguerite Duras et Isabel Marie », Presses universitaires de Perpignan, ID : 10.4000/books.pupvd.6640


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Le personnage de la domestique accède au rôle principal dans la deuxième moitié du XIXe siècle, mais ce sera seulement à partir de 1900 que les lecteurs auront accès à ses réflexions les plus intimes exprimées dans ses propres mots, lors de la publication du Journal d’une femme de chambre d’Octave Mirbeau. Cette autonomie énonciative a comme objet, entre autres choses, la description de la société perçue à travers un regard impitoyable et lucide. Or, le personnage du serviteur ne perd pour au...

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