30 novembre 2022
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Judith Langendorff, « Conclusion de la première partie. Espace figural et musical », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.180869
Il ressort de cette première partie, que le nocturne n’est pas une figure sombre qui serait l’envers du jour mais un espace temporel, que l’on qualifiera de figural, parce qu’il revêt différentes formes et fait ressortir des figures appelées distorsions. Il me semble désormais possible d’affirmer, en reprenant les mots de Bertrand Gervais et Audrey Lemieux, que le nocturne comme distorsion est une figure « qui se complexifie en se déployant » et qu’il « ne se donne pas comme une entité simple...