Fiche du document
17 mars 2023
- doi: 10.4000/books.pur.188288
- isbn: 9782753503359
- eisbn: 9782753592568
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Sujets proches
Working conditions Portraits, etc Portraits, caricatures, etc Portraits, etc Portraits, caricatures, etc Vermes Vermiform animals Fortunes Riches Affluence Distribution of wealth 19th century Kingdom (Monarchy) Bourgeoisie Commons (Social order) Middle class--Social conditions Middle classes Dejection World literature Western literature (Western countries) Belles-lettres Earth (Planet)--Gravity Afterlife Eternal life Life, Future Life after death Writers Scorn Disdain French Republic Autores literarios Literatos Ceremonias Ceremonias y ritos Ritos Ritos y ceremonias religiosos Rituales Depresión mayor Vida después de la muerte Vida eterna Mésestime Dédain Bourgeois Royauté Souverains Gouvernement monarchique Animaux vermiformes Vermes Opulence Patrimoine économique national Fortune Biens temporels Aisance Richesse nationale Abondance Répartition des richesses Richesses Grandes fortunes Patrimoine national Fortunes Avoir XIXe siècle 19e siècle Tâches Lecture en langue maternelle Lecture en langue seconde Pesanteur Grande bourgeoisie Petite bourgeoisie Bourgeois Oeuvres littéraires Littérature universelle Belles-lettres Idée d'empire Auteurs Gens de lettres Hommes de lettres Fins dernières Vie éternelle Au-delà Vie après la mort Salut éternel Portraits artistiques Portraits (art) Mal de vivre Morosité Abattement Spleen Vague à l'âme Déprime République française Royaume de France Royaume de France (987-1791)Citer ce document
Alain Vaillant et al., « Portraits », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.188288
Métriques
Partage / Export
Résumé
Théodore de Banville (1823-1891) Banville, Baudelaire et Gautier forment cette triade d’écrivains qui, de la monarchie de Juillet jusqu’au second Empire ou au-delà, semblent avoir voué leur œuvre au culte du Beau, à la fantaisie, au mépris du bourgeois et au travail inlassable du vers. Mais la lecture la plus attentive de Banville ne permet de déceler nulle trace de la mélancolie, désespérée ou souriante, qui leste d’une sourde gravité les textes de Gautier et de Baudelaire. Cette absence – q...