12 juillet 2016
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Carine Barbafieri, « Conclusion de la partie III », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.34767
Durant tout le xviie siècle, la tragédie française est en proie à un dilemme : lui faut-il perpétuer les marques caractéristiques de la tragédie (le sceptre et le trône, la majesté, la noble colère, le poignard et le poison qui figurent la mort) ou au contraire se plier à l’esthétique galante bien implantée, dans la société comme dans la littérature, en 1634 ? Aucune voie n’est préférable à l’autre et la seule solution acceptable semble être dans la conciliation des deux esthétiques pourtant ...