19 septembre 2016
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
François Le Penuizic, « Chapitre X. Protée ou la peur en la métamorphose : l’exemple d’Apulée », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.38853
Dans un récent article consacré à la figure de Pérégrinus Proteus chez les auteurs du IIe siècle après J.-C, chr. Heusch a fait l’hypothèse que la référence à Protée dans les Nuits Attiques d’Aulu-Gelle symbolisait parfaitement, pour l’auteur et son époque, leur conception de la culture et de la littérature, expliquant en particulier le recours à une écriture du fragment, de la digression et la liberté totale (ou l’absence) de construction. Ce n’est sans doute pas cependant le uirum constante...