16 septembre 2016
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Walter Geerts, « Chapitre XXIII. Prométhée, Œdipe, Thésée : la quête gidienne de la liberté inscrite dans le mythe », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.39629
La « matière » mythologique de la Grèce antique est généralement bien représentée dans l’œuvre d’André Gide. Le texte le plus connu à cet égard, considéré en même temps comme une sorte de testament spirituel, est le Thésée de 1946. Avant il y avait eu l’Œdipe, pièce de 1930, Perséphone, de 1934, et le Prométhée mal enchaîné de 1899. Le Traité du Narcisse de 1891, qui marque le début du recours aux mythes, propose, certes, une lecture du mythe de Narcisse, mais où prévaut le désir de contribue...