17 janvier 2018
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Jules Lelorrain, « 1871 », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.43766
De l’année 1871, il ne nous reste, hélas, que des épaves. Six lettres, très également réparties en trois groupes de deux : deux lettres de fin de guerre, l’une du 27 janvier, à l’heure où l’armistice, c’est-à-dire en clair la capitulation, est déjà décidée à Paris et où l’on voit à quel point un bourgeois provincial comme Jules Lelorrain peut encore se faire des illusions ; la seconde, du 7 février, très brève et sonnant comme le glas. Deux lettres écrites en pleine Commune et très caractéris...