28 mai 2019
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Patrick Wéry, « Les adages « Res perit debitori », « Res perit creditori » et « Res perit domino » », Presses de l’Université Saint-Louis, ID : 10.4000/books.pusl.1073
1. — Introduction. La littérature consacrée au droit des obligations et des contrats regorge d’adages, maximes, brocards, apophtegmes et aphorismes les plus divers. Nombreux sont ceux qui sont libellés en latin. Qui ne se souvient de « Nemo plus iuris ad alium transferre potest quam ipse habet », de « Nemo potest praecise cogi ad factum », de « Nemo auditur suam propriam turpitudinem allegans » ou encore d’« In pari causa turpitudinis cessat repetitio » ? Malgré le charme qui s’attache à leur...