30 mai 2022
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Léa Juzan, « Conclusion générale », Presses de l’Université Toulouse 1 Capitole, ID : 10.4000/books.putc.15113
613. Permettre de façon systématique la traduction juridique de l’absence de lien affectif ne serait pas souhaitable. Cela aurait pour conséquence de laisser la volonté parentale s’exprimer librement en autorisant le refus de l’enfant sans aucune limite. La protection de la valeur symbolique de la filiation, aussi bien que la protection que ce lien juridique confère à l’enfant placé dans une situation de vulnérabilité par les effets qu’il produit, exclut une prise en compte aussi radicale du ...