Jules Vallès. Parade du monstre

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La parade se tient toujours derrière.Jaques Derrida Representamen « J’ai eu de tout temps l’amour du monstre. » Dès l’abord, on ne s’étonnera pas de trouver dans le texte vallésien de nombreuses pages consacrées à ce qu’il est convenu d’appeler la peinture du monde des saltimbanques. Véritable tableau de genre de l’époque, les tréteaux de foire et leur « faune », en tant qu’ils relèvent de cet infra-langage qu’est la « culture populaire », auront en effet constitué un des motifs littéraires p...

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