Replacing the "Urban Sublime": The City in Contemporary American Fiction

Fiche du document

Date

30 janvier 2024

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2802-2777

Organisation

OpenEdition

Licence

info:eu-repo/semantics/openAccess




Citer ce document

Heinz Ickstadt, « Replacing the "Urban Sublime": The City in Contemporary American Fiction », Anglophonia Caliban/Sigma, ID : 10.4000/caliban.1592


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

La ville a indéniablement perdu l’attrait mythologique qu’elle avait pour les écrivains modernistes. Pourtant, elle n’a pas totalement disparu de la fiction américaine récente. Elle pourrait être considérée, de manière concrète, comme l’environnement où s’inscrit l’expérience d’un quartier spécifique ou comme un lieu de transaction transculturelle (en particulier dans les romans récents consacrés aux communautés ethniques) mais aussi, de manière abstraite, comme le signe visible de forces invisibles qui simultanément transcendent et absorbent la ville dans des romans où semble se perpétuer la tradition moderniste du sublime urbain. Cet article s’intéresse à plusieurs romans contemporains où la ville est à la fois représentée comme localement concrète et globalement abstraite—comme un espace d’expérience sensuelle mais aussi comme un référent sémiotique où se rencontrent des forces nouvelles et désincarnées. De même que Dos Passes explorait les "merveilles" du sublime urbain dans Manhattan Transfer, ces romans—Lookout Cartridge de Joseph McElroy et Cosmopolis de Don DeLillo—entretiennent et transforment à la fois la tradition moderniste en révélant les possibilités et les limites d’une nouvelle réalité virtuelle.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en