Contemporary African American Women Playwrights: Shaping Identity through Violence

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30 janvier 2024

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Inmaculada Pineda, « Contemporary African American Women Playwrights: Shaping Identity through Violence », Anglophonia Caliban/Sigma, ID : 10.4000/caliban.440


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Cet article explore le sujet de la violence comme l’un des facteurs responsables de la formation de l´identité des femmes afro-américaines défavorisées, selon la description qu’en donnent les dramaturges afro-américaines. Deux approches sont considérées, d´un côté la mentalité féministe du peuple noir, et de l’autre, l’éloignement du multiculturalisme vers une perspective plus universaliste puisque la violence paraît constante dans le temps et l´espace. L´article étudie les rapports entre ces théories et les œuvres de Suzan-Lori Parks In the Blood (1999) et de Kia Corthron Breath, Boom (2000). Les théoriciennes féministes Angela Davis et Patricia Hill Collins ont une approche centrée sur l´intersection entre plusieurs formes d´oppression qui sont mises en relation pour éviter que des femmes comme Hester, mère sans ressources dans In the Blood et Prix, chef d´une bande dans Breath, Boom, puissent avoir l´opportunité d’atteindre la reconnaissance personnelle, et finalement, la reconnaissance sociale et la possibilité de s’améliorer. Dans les deux pièces, l´identité des femmes noires se construit sous l’influence de la violence et de la maltraitance. L’élément le plus perturbant dans ces textes, c´est de découvrir que de nos jours des femmes, parmi les moins privilégiées et les plus marginales, peuvent mener des vies similaires à celles décrites dans ces œuvres théâtrales.

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