18 décembre 2017
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Dorothee Kimmich, « „Mundus vult decipi“. Warum man sich den Hochstapler als einen glücklichen Menschen vorstellen muss », Cahiers d’études germaniques, ID : 10.4000/ceg.1839
Les imposteurs sont des personnes sans identité ; ils n´ont ni caractère, ni profession, ni famille, ni amis sincères. Ils sont toujours masqués et l’on s´attend à ce qu´ils soient démasqués, dans les textes comme dans la réalité. Mais dans la littérature moderne – chez Thomas Mann et Efraim Frisch – se trouvent des imposteurs qui évitent d´être démasqués et, de ce fait, deviennentt eux-mêmes des critiques d´une modernité défigurée.