Der fließende Gellert und der spitzige Rabener

Fiche du document

Date

18 décembre 2017

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/0751-4239

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2605-8359

Organisation

OpenEdition

Licences

All rights reserved , info:eu-repo/semantics/openAccess



Sujets proches Fr

Bassin de l'Ob

Citer ce document

Nadja Reinhard, « Der fließende Gellert und der spitzige Rabener », Cahiers d’études germaniques, ID : 10.4000/ceg.943


Métriques


Partage / Export

Résumé De Fr En

Die Thematisierung der (eigenen) Autorschaft sowie ggfs. die Wahrung der Anonymität ist für die Selbst- und Werkpolitik von Autoren unerlässlich. Das gilt im 18. Jahrhundert vor allem für die Darstellung in Briefen, die als epistolare Paratexte das Autor- und Werkverständnis sowie das Rezeptionsverhalten der Leser steuern. Unabhängig davon, ob es sich um faktische oder fingierte Briefe handelt, ob sie im teil-öffentlichen Kreis kursieren oder ob sie durch Publikation öffentlich gemacht werden, spielen diese mit der durch die Briefform suggerierten Authentizität. Gleiches gilt jedoch auch für unautorisiert und meist modifiziert veröffentlichte Briefe, die sich (wie auch Darstellungen durch Dritte, z.B. in Rezensionen oder Nekrologen) der Wirkmacht des Autors entziehen, die aber die Rezeption ihres Werks und die Formierung ihres Autorbildes in der Öffentlichkeit maßgeblich und nachhaltig beeinflussen, was sich am Bsp. des ‚fließenden‘ Gellerts und des ‚spitzigen‘ Rabeners zeigen lässt.

Réfléchir sur son propre statut d’auteur et le cas échéant conserver l’anonymat est une démarche incontournable pour définir son identité d’écrivain ainsi que sa stratégie éditoriale. Cela se vérifie, au xviiie siècle, surtout dans les propos tenus dans les lettres, lesquelles, en tant que paratextes épistolaires, déterminent ou contribuent à déterminer la définition que l’auteur se fait de lui et de son œuvre et tendent à en orienter la réception ultérieure. Indépendamment de la nature fictive ou non des lettres, indépendamment des canaux de leur diffusion – à demi publics ou accessibles à tous par la publication –, il se produit toujours un jeu avec l’authenticité qui fait partie intégrante du discours épistolaire. Il en va de même pour les lettres éditées sans autorisation, et souvent modifiées, qui échappent au contrôle de l’auteur (cela vaut également pour les représentations qui en sont données par des tiers dans les comptes rendus ou les nécrologies) ; pourtant, elles influencent considérablement et durablement la réception de l’œuvre de cet auteur et l’image que l’on gardera de lui. Le présent article le montre à partir des cas de Gellert et Rabener.

To make (appropriate) authorship as a topic of conversation and sometimes also to preserve anonymity is essential as a strategy of self- and opus-politics. In the 18th century it applies first of all to self- and opus-representation in factual as well as in fictional correspondence; as epistolary paratexts they govern the self- and opus-conception and the reception of readers. Regardless of the factual or fictional status of the letters (whether they circulate among friends or are published), they all play with the mark of authenticity suggested by their epistolary form. The same is true for unauthorized and in most cases modified published letters, which (like texts from third parties, e.g. recensions or necrologs) evade the power of the author, although they also considerably shape and influence the public’s view of the author and his work. This will be shown by analyzing epistolary paratexts while focusing on the images of the “(fluid-)moving” Gellert and the “spiky” Rabener.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en