Lumière sur Eugène Martial Simas, décorateur oublié de la Belle Époque

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16 décembre 2015

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La brasserie Mollard de Paris, le restaurant La Cigale à Nantes, la gare ferroviaire de Tours ou l’Hôtel de Ville de Créteil sont autant d’édifices publics de la Belle Époque qui ont pour trait commun la participation d’Eugène Martial Simas à leur décor. Cet article se propose d’introduire l’œuvre polymorphe de celui qui, formé aux décors de spectacle, se tourna vers les arts décoratifs et industriels afin d’y exercer son goût pour les formes nouvelles et japonisantes. Attaché aux mythes classiques et à un artisanat traditionnel de qualité, Eugène Martial Simas n’incarne pas moins un jalon essentiel de cette nouvelle génération d’artistes qui, au tournant du XXe siècle, propagea sa douce utopie d’un art nouveau, présent partout et accessible à tous.

The Brasserie Mollard in Paris, the restaurant La Cigale in Nantes, Tours train station and the Créteil town hall are all “Belle Epoque” public buildings that were decorated in part by Eugène Martial Simas. This article is an introduction to the polymorphous oeuvre of Simas, who trained as a set designer, then turned to the decorative and industrial arts to exercise his fascination for new forms and forms inspired by Japanese art. Attached to classical mythology and traditional craftsmanship, Eugène Martial cleared the way for the new generation of artists that propagated its gentle utopia of a new art, present everywhere and accessible to everyone, at the turn of the twentieth century.

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