4 novembre 2016
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Mathilde Castel, « Jean-Luc Parant : Mémoire du Merveilleux », Critique d’art, ID : 10.4000/critiquedart.19229
Que la plume d’Antoine de Saint-Exupéry soit revisitée sous l’égide du naturalisme, il en résultera constamment une écriture avoisinant celle de Jean-Luc Parant dans l’ouvrage Mémoire du merveilleux : « Si l’homme voit l’infini c’est parce que sa tête peut le contenir et que l’infini peut être si petit qu’il peut entrer par ses yeux » (p. 10). Poète et sculpteur, Jean-Luc Parant est l’auteur d’une œuvre qui se comprend sous le prisme d’une fascination pour les yeux et pour les formes sphériqu...