Some Reflections on the Limitations to Public Participation in the Post-Political City

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15 novembre 2009

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Ronan Paddison, « Some Reflections on the Limitations to Public Participation in the Post-Political City », L’Espace Politique, ID : 10.4000/espacepolitique.1393


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Résumé En Fr

Neoliberal practices are the new orthodoxy within urban governance imposing limits to participatory and more democratic forms of engagement in the city, particularly where they challenge the official discourses through which cities strive to be competitive spaces in the globalizing economy. This paper offers a theoretical understanding of these limits through two related propositions. First, that urban governance has assumed a post-political configuration; second, and reflecting such a configuration, urban entrepreneurialism is becoming defined by a new style of politics, urban neo-populism. Against the disciplining imperative of creating the competitive city, neo-populism becomes defined around the manufacture of consensus politics, the effect of which is to marginalize protest and dissensus.

Les pratiques néolibérales sont la nouvelle orthodoxie en matière de gestion urbaine par les autorités municipales (« gouvernance urbaine »). Elles imposent des limites à la participation citoyenne et à des formes plus démocratiques d’engagement dans la ville, en particulier lorsque ces dernières remettent en question les discours officiels selon lesquels les villes s’efforcent d’être des espaces compétitifs dans l’économie mondialisée. Cet article présente une approche théorique de ces limites suivant deux propositions connexes. La première postule l’adoption d’une configuration post-politique par la gouvernance urbaine. La deuxième, reflétant en cela une telle configuration, avance que « l’esprit d’entreprise en milieu urbain » se définit désormais par un nouveau genre de politique, le « néo-populisme urbain ». Contre l’impératif consistant à créer la ville compétitive, le néo-populisme se définit par l’élaboration d’une politique du consensus, dont l’effet est de marginaliser les contestations et les dissensions.

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