« La tarentule est vivante, elle n’est pas morte ». Musique, tradition, anthropologie et tourisme dans le Salento (Pouilles, Italie)

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21 janvier 2017

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Cet article montre comment dans le Salento, une région fortement ethnologisée, a été impulsé un tourisme culturel qui prend appui sur la patrimonialisation et la mise en scène de traditions qui ont fait l'objet du regard anthropologique. Le catalyseur du succès du Salento durant les dix dernières années est la taranta, le produit de la relecture d'une manière positive du tarentisme, comme il avait été décrit notamment par de Martino. Dans cette contribution, le cas de figure du Salento a été analysé, à partir de mes propres matériaux d'observation, et en comparaison avec le processus analogue qui se produit au Mali et notamment en Pays dogon.

This article aims to show the ways in which cultural tourism has been encouraged in a deeply ethnologised Italian region, the Salento. Promotional attempts have been led by means of politics of cultural heritage and of mise en scène of ancestral traditions, once studied by anthropologists. In the last decade, the taranta has catalysed this process. Analysing the taranta, we especially deal with de Martino's tarantism as it is now experienced in a new, positive way. Finally, the case study of the Salento is enriched here by making a comparison with the same kind of processes observed in the Dogon region of Mali.

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