Deux réécritures polychromes de Marie-Madeleine de Lubert

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17 décembre 2021

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Blandine Gonssollin, « Deux réécritures polychromes de Marie-Madeleine de Lubert », Féeries, ID : 10.4000/feeries.3679


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Le présent article ne traite pas de la couleur dans l’ensemble de l’œuvre contée de Marie-Madeleine de Lubert, mais se concentre sur l’étude de deux contes-réécritures publiés après 1750 : d’une part, « Étoilette », inséré dans l’édition revue et augmentée de la nouvelle de Mme de Murat, Les Lutins du château de Kernosy (1753), qui réécrit la chantefable médiévale Aucassin et Nicolette, et, d’autre part, La Tyrannie des fées détruite, ou l’Origine de la machine de Marli (1756), qui constitue une complète refonte d’un recueil de contes de fées de Mme d’Auneuil. Tout en inscrivant ces deux contes dans l’esthétique rococo, les couleurs témoignent de la manière dont Mlle de Lubert réécrit ses sources et mettent en lumière des préoccupations nouvelles, d’ordre moral et pédagogique, apparues dans sa féerie.

This article does not deal with color on all of Marie-Madeleine de Lubert’s fairy tales, but focuses on the study of two tales-rewritings published after 1750: on one hand, “Étoilette”, inserted in the publishing revised and augmented of Mme de Murat’s short story, Les Lutins du château de Kernosy (1753), which rewrites the medieval chantefable Aucassin et Nicolette, and, on other hand, La Tyrannie des fées détruite, ou l’Origine de la machine de Marli (1756), which constitutes a complete rewriting of a collection of fairy tales by Mme d’Auneuil. While inscribing these two tales in the rococo aesthetic, the colors demonstrate the way in which Mlle de Lubert rewrites her sources and shed light on new questions, of a moral and educational nature, which have appeared in her fairy.

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