Arthur Schnitzler und Tristan Bernard : Anmerkungen zu einem singulären Fall von ‹Doppelgängerschaft›

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1 juillet 2013

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Wolfgang Lukas, « Arthur Schnitzler und Tristan Bernard : Anmerkungen zu einem singulären Fall von ‹Doppelgängerschaft› », Germanica, ID : 10.4000/germanica.2123


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Résumé De Fr En

Die frappierende Ähnlichkeit zwischen Tristan Bernards Boulevardstück Les deux canards (1913) und Schnitzlers Komödie Fink und Fliederbusch (1917) stellt einen erstaunlichen – und in Schnitzlers Werk singulären – Fall von augenscheinlicher ‹Doppelgängerschaft› dar, die nicht auf Rezeption oder ‹Einfluss› zurückführbar ist. Der Beitrag unternimmt den Versuch, gemeinsame Konstellationen jenseits der offenkundigen Journalistensatire zu rekonstruieren, auf deren Hintergrund beide Stücke als je individuelle Ausprägungen einer zeitgenössischen Grundproblematik erscheinen.

La ressemblance frappante entre la pièce de boulevard de Tristan Bernard Les deux canards (1913) et la comédie de Schnitzler Fink und Fliederbusch (1917) représente un cas étonnant – tout à fait singulier dans l’œuvre de Schnitzler – de « double littéraire » manifeste que l’on ne saurait ramener à un phénomène de réception ou d’influence. Cette contribution tente de reconstituer les différentes constellations que les deux textes ont en commun, par-delà la satire journalistique évidente qui sert d’arrière-plan aux deux pièces et les font apparaître, chacune à sa manière, comme l’expressions originale d’une problématique contemporaine fondamentale.

The striking resemblance between Tristan Bernard’s light comedy Les deux canards (1913) and Schnitzler’s comedy Fink und Fliederbusch (1917) presents us with a surprising but unmistakeable case of a “literary double” – unique in Schnitzler’s work – which cannot be accounted for by the usual routes of reception or influence. This paper attempts to reconstruct the range of different elements that the two texts have in common, beyond the obvious journalistic satire which serves as a backdrop to both pieces and makes each seem, in its own way, like the distinctive expression of a fundamental contemporary problem.(Trad. : D.G.)

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