23 mars 2014
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Mickael Brohan, « Chavarría Mendoza María, Eshawakuana, sombras o espíritus. Identidad y armonía en la tradición oral ese eja, Ediciones Programa Forte-Pe, Lima, 2002, 2 vols, 366 p., bibl., gloss., ill., cartes, photos, tabl. », Journal de la société des américanistes, ID : 10.4000/jsa.1618
À l’instar des Araona, des Cavineños et des Tacana, composantes (exclusivement) boliviennes de leur famille ethnolinguistique, les Ese Eja comptent parmi les sociétés indigènes les moins connues de Haute Amazonie. Les raisons en sont certainement imputables à leur faiblesse démographique (on dénombre à peine 1 100 Ese Eja au total) et à leur position géographique binationale : ils résident sur la partie péruvienne du fleuve Madre de Dios et de plusieurs de ses affluents ainsi que sur les rive...