4 avril 2014
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Stéphane Legrand, « Pourquoi nous ne sommes pas tout à fait des abeilles », Labyrinthe, ID : 10.4000/labyrinthe.4315
« La fixité du contenu », « l’invariabilité du message », le « rapport à une seule situation », « la nature indécomposable de l’énoncé », sa « transmission unilatérale » sont, en résumé, l’ensemble des éléments qui placent le langage des abeilles en dessous du langage humain selon Benveniste. Et de cet ensemble de différences, le linguiste conclut qu’on ne peut pas parler de langage à propos des abeilles, que la radicale spécificité de l’exception humaine doit donc être maintenue sur ce point...