L’horizon dans Foley (2000) de Michael West : vers une poétique de la redite

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18 juin 2014

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Résumé En Fr

This article examines how Michael West’s 2000 play Foley explores not only the eponymous character’s wandering identity but also the vagaries and traps of storytelling. Foley tramps the Irish landscape and his own mindscape. In this, he is reminiscent of the tramps, tinkers, and strangers staged by the Irish Revival in the early 20th century and of many of Samuel Beckett’s characters. West’s Foley also exposes the layers of memory composing his conflicting identity and plays with metatheatricality by exposing the artificial horizon of his own story.

Cet article se propose de montrer en quoi l’errance du personnage éponyme de la pièce Foley de Michael West (2000) est protéiforme. Elle est présente non seulement dans les déambulations du personnage dans le paysage irlandais, dans son identité plurielle et fragmentée, mais également dans la construction de son récit. La déroute du personnage se situe à tous les niveaux. Rappelant les mendiants, vagabonds et étrangers mis en scène par le théâtr e irlandais du début du siècle ainsi que les clochards beckettiens, Foley erre entre des strates mémorielles et dévoile en quoi son récit s’égare au fur et à mesure qu’il le construit.

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