Étude pilote des relations entre manifestations psychotiques et environnement de résidence

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11 mars 2021

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Antoine Longo et al., « Étude pilote des relations entre manifestations psychotiques et environnement de résidence », Revue francophone sur la santé et les territoires, ID : 10.4000/rfst.553


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Cet article aborde les déterminants des troubles psychotiques à travers l’étude des manifestations psychotiques « atténuées » (ou schizotypie quantitative) ; manifestations plus fréquentes que les troubles constitués (telle que la schizophrénie) mais rarement identifiés et pris en charge alors qu’ils impactent la qualité de vie. Si les déterminants individuels de ces troubles « atténués » sont plutôt bien connus, l’impact des déterminants contextuels (caractéristiques sociales, urbanistiques) des lieux de vie sur leur présence ou leur intensité n’a, par contre, pas encore été étudié. Les relations entre contexte de résidence et schizophrénie ont, en revanche, fait l’objet de recherches spécifiques. A partir de données recueillies auprès de 255 adultes résidant dans trois quartiers de la commune de Créteil, cette étude s’intéresse aux relations entre les représentations (dont l’étendue) du quartier de résidence, les caractéristiques (socio-démographiques et urbanistiques) du quartier et les scores de schizotypie.

The study of subclinical psychotic manifestations (quantitative schizotypy) represents clinical and public health issues. These manifestations are more common than schizophrenia or depression, but rarely identified while it impacts the quality of life. Screening schizotypy in the general population would make it possible to propose prevention strategies. The objectives of the present research is to better understand the determinants and mechanisms of schizotypy in order to identify population at risk and hopefully be able to improve prevention and care. The hypothesis is that schizotypy is influenced both by individual and contextual characteristics (social, built). Based on data collected during a survey in the city of Créteil, the aims of this article were to explore the relationships between representations (including size), socioeconomic and urban planning characteristics of the neighborhood of residence and schizotypy scores. In addition, a methodological contribution of this article is to measure and characterize self-defined neighborhoods.

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