La transition entre vapeur et électricité Exemples vécus (Mohon, Strasbourg, Noisy-le-Sec)

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8 janvier 2015

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André Blanc, « La transition entre vapeur et électricité Exemples vécus (Mohon, Strasbourg, Noisy-le-Sec) », Revue d’histoire des chemins de fer, ID : 10.4000/rhcf.1780


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Cette contribution est un témoignage sur la vie et le fonctionnement des dépôts de l’Est dans les années 1950 et 1960. À partir de nombreuses anecdotes mais aussi d’analyses et de réflexions rétrospectives, l’auteur évoque la transition, cruciale pour le milieu ferroviaire, de la traction vapeur à l’électrique. Évoquant le personnel et les dépôts à la sortie de la guerre, l’article relate ensuite l’expérience de l’auteur face au défi de l’entretien (concomitant à l’exploitation vapeur) de machines de conception radicalement nouvelle par rapport à l’expérience du personnel. C’est la stimulation suscitée par la nouveauté qui marque les années passées par l’auteur dans divers dépôts (Mohon, Strasbourg) alors que se construit lentement la mémoire cheminote de la guerre. Sont enfin abordées les nouvelles machines de traction livrées au dépôt de Noisy-le-Sec ainsi que le service de divers autorails spécifiques (dits de « commandement ») utilisés notamment par les hautes personnalités politiques du temps. La transcription du témoignage d’un autre acteur, Daniel Lécheneau, figure en annexe de l’article et porte sur l’utilisation des 141 P au dépôt de Noisy-le-Sec.

This contribution is a testimony on life and operations in the East network depots in the years 1950-1960. From numerous anecdotes but also through retrospect analysis and reflections, the author evokes the transition, crucial for the railway industry, from steam to electric traction. Referring to staff and depots at the end of the war, the article then discusses the experience of the author facing the maintenance (concomitant to the steam operation) of machines of radically new design according to the staff knowledge and practices. It is the stimulation provided by the novelty that characterizes the related experience in various depots (Mohon, Strasbourg), next to the slow construction of railwaymen’s memory of the war. The new traction machines, delivered to the depot of Noisy-le-Sec, are finally addressed as well as the operation of various specific railcars ("Command cars") used notably by the high political personnalities of the time. The transcript of the testimony of another actor, Daniel Lécheneau, is annexed to the paper and focuses on the use of the 141 P at Noisy-le-Sec.

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