7 février 2022
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Maria-Joana Verny, « Escrituras femininas de l’après 68 : Rosalina Ròcha », Revue des langues romanes, ID : 10.4000/rlr.4550
Les années d’après 1968 virent la floraison d’une nouvelle création littéraire occitane, accompagnée par la Nouvelle chanson occitane – née en 1965 avec les interprétations de Robert Lafont par Gui Broglia. Naissance également d’un théâtre militant. Dans ces formes d’expression des voix de femmes se font entendre, quoique minoritaires. C’est à l’une d’elles, Roseline Roche, que s’attache le présent article, autrice de plusieurs recueils d’abord de poésie puis de prose, animatrice talentueuse de la revue littéraire Jorn, avant de se réfugier dans le silence, découragée par une critique trop rare de ses textes. Voix de femme, évoquant des drames vécus, souvent invisibles derrière le quotidien de la femme, de l’enfant, de l’adolescente, de l’adulte.