Le vers comme indice d'artificialité dans le théâtre de T.S. Eliot : The Confidential Clerk

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15 juin 2010

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Daniel Jean, « Le vers comme indice d'artificialité dans le théâtre de T.S. Eliot : The Confidential Clerk », Sillages critiques, ID : 10.4000/sillagescritiques.1824


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The Confidential Clerk est la pièce de T.S.Eliot que l’on considère souvent comme l’étiage de l’inspiration de son auteur. Inscrite dans le programme du renouveau du théâtre en vers, dans lequel le poète s’est lancé après la Deuxième Guerre mondiale, elle est présentée comme une tentative pour rendre à nouveau le vers acceptable au théâtre, à travers un modèle de pièce conforme au goût du public, et l’abolition de l’équation poésie et forme versifiée. Cet article se propose une autre lecture de la pièce où le vers est considéré comme l’indice de l’artificialité maximale du théâtre, au service d’un discours métathéâtral efficace.

The Confidential Clerk is often considered as the all time low of T.S.Eliot’s output. As a part of his agenda for reinventing Verse Drama for the contemporary stage, which he set out on in wake of WW2, Eliot presented the play as an attempt to make verse acceptable on the stage by using a fashionable form of drama, and by leaving out all poetry. This paper proposes to read the play - irrespective of its author’s prescriptions - as an attempt at underling, by the way of verse as an efficient element of metatheatrical discourse, the very artificiality of theatre.

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