La città avventurosa : Bontempelli 1920-1921

Fiche du document

Date

9 mai 2022

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Source

Transalpina

Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1278-334X

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2534-5184

Organisation

OpenEdition

Licences

All rights reserved , info:eu-repo/semantics/openAccess

Résumé It Fr

Per Bontempelli, la città moderna è caratterizzata da una « pressione d’interessi complessi » senza precedenti nella storia. La formulazione appartiene ad Arthur Machen, autore anglosassone attivo nell’ultimo decennio dell’Ottocento e nei primi due decenni del Novecento, che riflette esattamente sulla stessa problematica ; quest’idea della « città avventurosa », in effetti, è frequentemente attestata fra Otto e Novecento, per esempio nel romanzo d’avventura e poliziesco (Conan Doyle), e poi in area avanguardistica. In virtù di tale fenomeno inedito, dell’estrema concentrazione di storie e potenzialità – vitali e narrative – che la « città avventurosa » contiene, essa costituisce il luogo ideale di manifestazione dello strano, delle coincidenze meravigliose e romanzesche, al limite perfino del soprannaturale. La metropoli, massima incarnazione della modernità, diventa, per Bontempelli ma anche per altri scrittori di quel periodo (1890-1920), il luogo in cui si manifestano di preferenza le coincidenze prodigiose, le avventure meravigliose, o addirittura gli eventi soprannaturali (anche se, in Bontempelli, questi ultimi rimangono spesso allo statuto di metafora, o di torsione « surreale » del « reale »). Questo studio vorrebbe indagare la specificità di Bontempelli nell’ambito descritto, prendendo come opere di riferimento La vita intensa. Romanzo dei romanzi (1920) e La vita operosa. Nuovi racconti d’avventure (1921).

Pour Bontempelli, la ville moderne se caractérise par une « pression d’intérêts complexes », sans précédent dans l’histoire. Cette formule appartient à Arthur Machen, un auteur anglo-saxon de la fin du XIXe siècle et du début du XXe, qui réfléchit précisément sur cette problématique. En effet, l’idée de la « ville aventureuse » revient fréquemment au tournant du XIXe et du XXe siècles, par exemple dans le roman d’aventure et le roman policier (Conan Doyle) et plus tard chez les avant-gardistes. En vertu de ce phénomène inédit, de cette extrême concentration d’histoires et de potentialités – vitales et narratives – que la « ville aventureuse » contient, cette dernière constitue le lieu de manifestation idéal de l’étrange, des coïncidences merveilleuses et romanesques, et même du surnaturel. La métropole, incarnation parfaite de la modernité, devient, pour Bontempelli mais aussi pour d’autres écrivains de cette période (1890-1920), le lieu où se manifestent de manière privilégiée les coïncidences prodigieuses, les aventures merveilleuses, voire les événements surnaturels (bien que ceux-ci gardent, chez Bontempelli, un statut le plus souvent métaphorique, ou de torsion « surréelle » du « réel »). Cette étude se propose d’enquêter sur la spécificité de Bontempelli dans le domaine décrit, à partir de deux œuvres de l’après-guerre : La vita intensa. Romanzo dei romanzi (1920) et La vita operosa. Nuovi racconti d’avventure (1921).

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en