Les conditions sociales de possibilité du « flop » : production, intermédiation et réception

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30 juin 2022

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Isabelle Mayaud et al., « Les conditions sociales de possibilité du « flop » : production, intermédiation et réception », Transposition, ID : 10.4000/transposition.7490


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Résumé 0

À la faveur du dixième numéro de la revue Transposition. Musique et sciences sociales consacré au thème du « flop » et coordonné par Sarah Benhaïm et Lambert Dousson, nous avons souhaité nous entretenir à ce propos avec trois jeunes chercheur·e·s en sciences sociales dont les recherches doctorales ont porté sur les différents niveaux de la circulation des biens musicaux – production, intermédiation, réception – et sur leur articulation. Il nous a en effet semblé opportun de les réunir et de croiser leurs regards afin d’obtenir des prises de vues variées de cet objet complexe qu’est le « flop » musical.Les échanges qui suivent sont issus d’un entretien réalisé le vendredi 29 janvier 2021 via un document partagé en ligne. Les interviewé·e·s ont été invité·e·s à s’y connecter de façon simultanée sur un créneau de plusieurs heures afin de répondre à des questions qui y avaient été préalablement inscrites par les intervieweur·euse·s. Au-delà de son évidente commodité par temps de pandémie et de restriction d’accès aux lieux publics de réunion physique, cette modalité expérimentale de réalisation d’un entretien a été choisie et testée pour les possibilités qu’elle semblait nous offrir en termes de production discursive et d’échange scientifique. À mi-chemin entre l’entretien collectif « live » et oral en visioconférence (dont les propos sont enregistrés puis retranscrits) et l’entretien collectif entièrement réalisé par échanges de mails (où les différents propos sont écrits puis recueillis en différé), il s’agissait ici de favoriser une forme de spontanéité et d’interactivité entre les participant·e·s tout en autorisant un certain degré de retour sur soi et de formalisation des réponses. La proposition d’une connexion simultanée sur un document partagé, où il est possible de lire en direct tout ce qui s’y écrit, visait à encourager chacun·e à rebondir sur les propos des autres ou à s’y ajuster, tout en laissant la liberté de préciser, d’amender ou de corriger ses propres réponses dans le temps relativement long de cette réunion virtuelle. Le texte ainsi obtenu a ensuite été relu et édité par les deux intervieweur·euse·s avant de faire l’objet d’une dernière validation par les trois interviewé·e·s. Les notes de bas de page ont été écrites par les interviewé·e·s.

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