From Circuitry to Live Improvisation (and Back): Hacking One’s Way Through Contemporary Electronic Music

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21 novembre 2019

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Nicolas Collins et al., « From Circuitry to Live Improvisation (and Back): Hacking One’s Way Through Contemporary Electronic Music », Volume !, ID : 10.4000/volume.7331


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Résumé En Fr

Nicolas Collins is Professor at the School of the Art Institute of Chicago. Influenced by Alvin Lucier, David Tudor and punk culture, his work is at the intersection of experimental music, computer music, and sound art. During his career, he invented numerous musical devices by hijacking or altering existing technologies: CD players that play the sound produced by a disc when it is paused (Broken Light, 1991); attached to a trombone, a signal processing system that combines a digital reverb and a Commodore 64 motherboard (Tobabo Fonio, 1986); or discarded electronic circuits “reanimated” by probes that interact with other electronic components to create feedback (Salvage, 2008). He also wrote Handmade Electronic Music: The Art of Hardware Hacking (Routledge, 2009), an influential introduction to the world of musical hacking. In this interview, Nicolas Collins describes his journey as an artist at the crossroads of experimental music, computer music and sound art, and explains why hacking matters that much within today’s artistic practices.

Nicolas Collins est Professeur à la School of the Art Institute de Chicago. Influencé par Alvin Lucier, David Tudor et la culture punk, son travail se situe à la croisée de la musique expérimentale, de l’informatique musicale et de l’art sonore. Au cours de sa carrière, il a créé de nombreux dispositifs musicaux reposant sur le détournement ou l’altération de technologies existantes : des lecteurs CD modifiés donnant à entendre le son produit par le disque lorsque celui-ci est mis en pause (Broken Light, 1991) ; un trombone abritant un système de traitement du signal bricolé à partir d’une réverb digitale et d’une carte mère de Commodore 64 (Tobabo Fonio, 1986) ; ou encore des circuits électroniques hors d’usage qui se trouvent « réanimés », le temps d’une performance, par des sondes créant des jeux de feedbacks avec d’autres composants électroniques (Salvage, 2008). Il est également l’auteur d’un ouvrage de référence, Handmade Electronic Music: The Art of Hardware Hacking (Routledge, 2009), véritable manuel d’introduction au monde du hacking musical. Dans cet entretien, Nicolas Collins décrit son itinéraire en tant qu’artiste à la croisée des musiques expérimentales, de l’informatique musicale et de arts sonores et explique pourquoi le hacking compte autant dans les pratiques artistiques contemporaines.

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