Jean-Claude Penrad

Résumé 0

Chère Fariba, Cher Roland, On vous impose la tourmente, douloureusement, injustement. Vos qualités de chercheurs sont indignement invoquées pour vous imposer la séquestration. Trente ans d'amitié et de collaboration académique me font ressentir d'autant plus ce que vous endurez. Tenez bon. Nous attendons tous que la liberté vous soit rendue. Chaque jour ma pensée vous cherche, je suis entièrement avec vous, solidaire et indigné de ce mal qui vous accable. Jean-Claude Penrad (EHESS, Paris)

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en